Appliquées à l’art de la poésie, les technologies du numérique pourraient complètement modifier notre rapport à la lecture et à l’écriture. Le lecteur peut désormais prendre une part active dans des oeuvres jusqu’à présent figées.
L’ère numérique pourrait révolutionner la poésie et bouleverser notre façon d’appréhender cet art. C’est en tout cas le postulat de départ de Maria Engberg, chercheuse de l’université suédoise d’Uppsala, qui présentera une ambitieuse thèse autour de l’impact de l’informatique moderne sur notre rapport à la lecture et à l’écriture. Pour elle, la capacité des ordinateurs à combiner mots, images, mouvements et sons confère un nouveau rôle au lecteur, ajoutant une toute nouvelle dimension à l’art qu’est la poésie.
Source : l’atelier à
http://www.atelier.fr/article.php?artid=35195&rss=2?xtor=RSS-2
La thèse de Maria Enberg est à
http://publications.uu.se/theses/abstract.xsql?dbid=8166
Engberg, Maria (2007). Born Digital: Writing Poetry in the Age of New Media. http://urn.kb.se/resolve?urn=urn:nbn:se:uu:diva-8166 (2007-09-19)